Discernement
- Par sunyatazenconseil
- Le 01/08/2015
- Dans ZEN
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Lorsque, en chaque chose, on ne discerne plus qu’une seule et même essence et en définitive plus d’essence du tout, l’esprit ne peut plus s’égarer. Là où aucune pensée ne demeure est notre véritable demeure. Rien n’est jamais séparé de la Voie ; aucune de nos actions, aucune de nos pensées …
Même si nos actions sont mesquines et nos pensées étroites ou égoïstes, c’est toujours la voie du zen, le chant du zen, le chant infini, sans début, ni fin.
Au-delà de l’amour et de la haine, de la beauté et de la laideur, du bien et du mal, des choses extérieures ou intérieures, il y a infiniment plus. Quelque chose qu’on ne peut décrire, ni nommer, quelque chose d’incroyablement prodigieux … et ce quelque chose c’est nous-même.
Cette « identité » véritable nous apparaît lorsque nous sommes pleinement présent à nous-même, ici et maintenant, dans le zendo,
ce lieu hautement improbable,
ce lieu sacré.
Pourquoi ? Comment cela se produit-il ?
Pratiquez et découvrez par vous-même les réponses à ces questions.
Toutes les réponses sont
ici,
dans l’immobilité des corps
et le silence du
zendo.
I dream
Of wolves, with them
I run
For me she lengthened
The night
I am home
I am in peace
Crestfallen soul
Rest for this night
Love is here
Right here under my wings
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